Alain Girardet CRR

Monsieur,

je viens de relire dans le calme retrouvé de mon esprit votre « jugement » du 14/06/2023.

Je m’attache au paragraphe 2 de votre document.

Vous dites que je «ne saurais solliciter des mesures réparatrices d’agressions dont il (je) n’a pas été la victime » Mais je ne sollicite pas de mesures de réparation pour ces autres victimes ; je souhaite seulement qu’elles aient l’occasion de le faire ; ce qui ne sera possible que si elles y sont encouragées activement par le biais d’une enquête approfondie, et non pas juste par l’existence d’un numéro de téléphone, que bien peu ne connaissent et qui ne les aident pas à sauter le pas.

Par contre, en ce qui me concerne , ma demande est une mesure réparatrice pour moi, pour tenter d'effacer l'accueil plus que violent de la part du provincial des jésuites de l'époque, le père Grenet SJ, qui a tout simplement refusé de chercher à savoir si Gilbert Lamande était connu comme prédateur sexuel, et de ce fait m’a obligé à faire moi-même cette enquête dont je demande qu'elle soit réalisée pour les autres jésuites prédateurs connus.

De plus, vous écrivez «la CRR peut, dans ses rapports avec celui-ci, (l’institut religieux ) lui demander d'engager des recherches plus actives et publiques des victimes de plusieurs religieux »

Je vous remercierai infiniment si vous pouviez m’expliquer pourquoi vous ne l’avez pas fait.

Cordialement

JP Martin Vallas

PS: depuis plus de 10 ans, je me bats contre l’omerta des jésuites, et de l’église catholique . Mon moyen de lutte est de rendre public nos échanges, que vous trouverez sur mon site : http://franklin2.canalblog.com